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Théo & Valentin Ceccaldi sortent un très grand disque « Constantine »
Théo & Valentin Ceccaldi pilotent « Constantine », un voyage musical immersif dans leur histoire familiale. Un de nos gros coup de coeur.
Sous l’impulsion de Valentin & Théo Ceccaldi, le Grand Orchestre du Tricot s’entoure d’une myriade d’invités aventuriers, toutes générations confondues, venus du jazz, du rock ou des musiques traditionnelles (Leïla Martial, Thomas de Pourquery, Fantazio, Naïssam Jalal, Yom, Abdullah Miniawy, Airelle Besson, Emile Parisien, Michel Portal..) pour créer une fresque musicale opératique, puissante et poétique
Théo & Valentin Ceccaldi sont sur cet album des interprètes discrets qui ont tenu à associer à leur projet leurs amis, leurs compagnons de toujours et de nouveaux venus. Après l’introduction instrumentale de La règle du scarabée, plusieurs voix s’élèvent et créent un portail opératique dont les vibrations ne sont pas sans rappeler celles du Supersonic Orchestra de Thomas de Pourquery.
Avec force, l’Orchestre du Tricot soutient le chant poignant et le solo délirant de son saxophone alto. Sur une ligne musicale baroque conduite par les cordes du violon et du violoncelle, Le retour des perdrix s’achemine vers des contrées orientales où la complainte de la clarinette de Yom insuffle des ondes chargées de sacré et de mysticisme.
En écoute, la vidéo de Valentin et Théo Ceccaldi - CONSTANTINE - Le Retour des Perdrix (feat. YOM) :
Inspiré de l’histoire familiale personnelle des frères Ceccaldi et pensé initialement comme une déclaration d’amour à leur père, ce nouveau répertoire prend une dimension universelle et se construit comme un écho au passé qui jamais ne s’éteint, aux souvenirs clairs ou embrumés, aux présages honnis, aux paysages perdus ou retrouvés, aux aurores précoces et hallucinées.
On y parle de peuples en exil qui ne maitrisent pas leur destin. On y parle de vies oubliées, de souvenirs impalpables et vaporeux, que l’on cherche à ressaisir en vain. Tour à tour facétieux, écorché, enfantin ou tonitruant, le Grand Orchestre du Tricot se joue des codes et des frontières en inventant la bande originale lyrique et décalée d’un road movie imaginaire.
Une épopée exaltée nous menant d’un Paris bouillonnant jusqu’aux hauteurs arides des reliefs de Constantine.
Invités (selon disponibilités)
Airelle Besson : trompette
Fantazio : voix
Naïssam Jalal : flûte traversière
Leïla Martial : voix
Abdullah Miniawy : voix
Emile Parisien : sax soprano
Michel Portal : bandonéon, clarinette basse
Thomas de Pourquery : voix, sax alto
Yom : clarinettesite officiel
Tags : theo ceccaldi, constantine, ceccaldi, a love supreme, jazz, album, valentin ceccaldi, Airelle Besson, Leïla Martial, yom, emile parisien
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